Le chainon manquant de la catastrophe historique de la bombe atomique de Hiroshima et de Nagasika au japon et l’uranium de la mine de shinkolobwe en république démocratique du Congo demeure encore autour de l’imbroglio sur la vraie origine du minerai qui a servi à la fabrication de la bombe atomique selon les activistes des droits de l’homme et experts membre de la société civile de l’Afrique du Sud.
En marge de la 77 ième commémoration de la journée internationale de ce tragique évènement de l’histoire de chaque année.
La société civile congolaise de l’Afrique du sud organise une journée de d’échanges et réflexion le 06 aout 2022 à cape Town en Afrique du sud sous le thème « La dignité humaine au-delà du progrès techno-scientifique »
Un panel comprenant des chercheurs, des historiens, des militants et des éditorialistes aidera le public à faire ce voyage des réalités souterraines inconnues de Shinkolobwe à la catastrophe bien documentée d’Hiroshima-Nagasaki, avec une projection sur notre responsabilité commune pour un progrès durable et inclusif.
Pour laurent Musansina alias commandant Lorenzo l’un de des communicateurs de la société civile de l’Afrique du Sud “Pendant sept décennies, alors que l’humanité commémore la catastrophe qui s’est produite sur les autres populations d’Hiroshima et de Nagasaki au Japon, une pièce très importante du puzzle désastreux reste encore manquée et inconnue. “sur cet événement sombre et les liens entre la cite de Shinkolobwe en RDC (où le précieux et dangereux uranium utilisé dans la bombe atomique a été extrait, irradiant les humains ainsi que l’environnement) ; Los Alamos aux États-Unis (où la bombe a été construite dans le cadre du projet Manhattan) ; Région du Nouveau-Mexique (où la bombe a été testée, contaminant l’environnement) et Hiroshima-Nagasaki (destination finale de la bombe) doivent être mentionner que la mine de shinkolobwe est l’origine de la matière tragédie et dangereuse de la bombe atomique ;tout en travaillant aussi sur indemnisation des familles des victimes de son rayonnement massif volontaire .
En rappel, c’est depuis 2015 que la société civile congolaise de l’Afrique du sud organise chaque année sous différents thèmes la problématique historique inconnue de la mine de Shinkolobwe, de radium et d’uranium située dans la province du Haut-Katanga en RDC à 20 km à l’ouest de Likasi.