Le succès de l’exploration et capacité de la plus grande mine d’or d’Afrique à remplacer ses réserves au-delà de l’épuisement assurera sa position future comme l’un des actifs de niveau de Barrick Gold Corporation, a déclaré ce jeudi 27 octobre 2022 Mark Bristow, président et directeur général.
Devant la presse locale, Bristow a déclaré que la mine, vieille de 13 ans, qui vient d’améliorer ses performances sur trois trimestres consécutifs, a encore un énorme potentiel. Grâce à l’expansion continue de son portefeuille d’exploration, elle est bien placée pour maintenir son plan d’affaires pendant au moins dix ans encore.
La durée de la mine souterraine à Kibali a été prolongée de deux ans, avec la contribution du corps minéralisé 11.000 au plan de la mine. Ce corps minéralisé continue à fournir des résultats prometteurs, tout en créant de la valeur, en restant ouvert en profondeur. Les forages en cours à Mengu Hill, Agbarabo, Rhino, Zambula et Makoro démontrent un potentiel pour des mines satellites supplémentaires, à ciel ouvert et souterraine.
Bristow a déclaré qu’avec un investissement dans le pays de 4,2 milliards de dollars, Kibali a apporté une contribution importante au compte du Trésor congolais. Plus important encore, il a transformé la région Nord-Est du pays, auparavant non développée, en un nouveau pôle économique florissante.
Au cours du dernier trimestre, le ministre des Mines, S.E. Antoinette N’Samba Kalambayi, a inauguré l’organisme spécialisé qui gérera le fonds de développement social de Kibali, constitué par la dotation de 0,3% du chiffre d’affaires annuel de la mine. Un montant de $13,7 millions, accumulé au cours des trois dernières années, a déjà été affecté à des projets communautaires qui seront lancés cette année. La nouvelle église catholique de 2,500 places de Kokiza a récemment été remise officiellement et acceptée par le Diocèse et ses quelques 30,000 fidèles qui ont été réinstallés dans la nouvelle cité entre 2010 et 2016.
Barrick continue également d’investir dans l’avenir de la biodiversité africaine en prévoyant la réintroduction de 76 rhinocéros blancs dans le Parc national de la Garamba, une mesure essentielle dans son plan à long terme de protection de cette espèce menacée.
Source :Barrick
Par Abraham Nzonde